Construite pourtant très tardivement (1948), cette résidence reprend le " grand style " qui, dans les années 1920, a fait le renom de certaines grandes maisons de l'avenue des Braves. La résidence réalisée pour le compte de Jules Turcotte n'est pas sans rappeler la maison Calixte-Champoux située de l'autre côté de l'avenue et édifiée vingt ans plus tôt par l'architecte E.-Georges Rousseau. Au volume carré de la grande maison carrée conventionnelle, on a ajouté plusieurs composantes architecturales ...
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