Le présent projet de modifications réglementaires porte sur deux sujets distincts, soit :
- Les hauteurs maximales autorisées pour les bâtiments situés sur des terrains en pente dans le quartier Saint-Sauveur;
- Les usages commerciaux au deuxième étage du centre commercial situé aux 707-715 boulevard Charest Ouest, 766, rue Kirouac.
Vous trouverez ci-dessous les descriptions ainsi que les modifications réglementaires proposées pour chacun d’eux.
Pour plus de renseignements, consultez les sommaires décisionnels et les fiches de modifications réglementaires accessibles dans la section Documentation.
Hauteur maximale des bâtiments sur un terrain en pente
En raison de la présence de pentes et de dénivelés importants, certains terrains du quartier Saint-Sauveur peuvent difficilement être développés. En effet, dans certains cas, la hauteur maximale autorisée pour un bâtiment est réduite en raison de la présence d’un fort dénivelé sur le terrain.
Afin de pallier cette situation, une méthode de calcul différente peut être utilisée. Pour se prévaloir de cette possibilité, une mention doit être ajoutée à la grille de spécifications de la zone concernée.
Principales modifications réglementaires
Afin de favoriser le réaménagement de ces terrains et la création de nouveaux logements, il est proposé d’ajouter la mention relative à la méthode de calcul de terrain en pente dans 10 zones du quartier Saint-Sauveur.
Pour localiser ces zones, consultez la documentation ci-dessous.
Usages commerciaux aux 707-715 boulevard Charest Ouest, 766, rue Kirouac
Le propriétaire des 707-715 boulevard Charest Ouest, 766, rue Kirouac souhaite pouvoir louer des locaux situés au deuxième étage de son centre commercial à un salon de coiffure et d’esthétique, à une école de danse et à un organisme religieux.
Cela dit, la réglementation en vigueur exige que les usages commerciaux du deuxième étage soient le prolongement d’usages exercés au rez-de-chaussée.
Principales modifications réglementaires
Pour permettre au propriétaire de louer ses espaces disponibles, il est proposé de modifier la réglementation afin d’autoriser les commerces au deuxième étage sans qu’ils soient le prolongement d’usages exercés au rez-de-chaussée.