(1900-1950)
La première moitié du XXe siècle est partagée entre les influences traditionnelles et modernes. L’historicité du XIXe siècle perdure, elle préconise toujours l’imitation de formes anciennes issues d’une esthétique classique, mais avec l’avènement de techniques de construction et de matériaux plus performants, les nouvelles formes commencent à s’imposer. À Québec, l’architecture conventionnelle, tout en étant moderne sur certains aspects, maintient le poids de la tradition. La normalisation de la construction, le développement des quartiers ouvriers, la salubrité de l’aménagement et les principes d’urbanisation nord-américains sont quelques-uns des facteurs qui viennent transformer le paysage bâti de la ville.
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