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Le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP), en vertu du Règlement sur le prélèvement des eaux et leur protection (chapitre Q‑2, r.35.2), exige que la Ville de Québec réalise des analyses de la vulnérabilité pour chacune des sources d’eau potable.
La Ville compte six sources d’eau visées par cette obligation :
Les rapports d’analyse contiennent les données publiques suivantes :
Pour protéger l’endroit où les usines de production puisent leur eau, le gouvernement du Québec interdit certaines activités à proximité des prises d’eau. Il définit des périmètres à respecter, soit les aires de protection immédiates, intermédiaires et éloignées. Ainsi, chaque usine a ses aires de protection, établies selon une distance précise.
Certaines activités sont interdites, restreintes ou encadrées, selon la portion de l’aire de protection concernée et le niveau de vulnérabilité des eaux dans cette aire, telles que :
Les cartes suivantes illustrent les aires de protection pour chacune des sources d’eau.
Pour évaluer la vulnérabilité des prises d’eau de surface, le MELCCFP impose l’analyse de six indicateurs :
L’eau de Québec respecte toutes les normes en vigueur. Aussi, la Ville est proactive et met en œuvre des actions pour la protection de sources d’eau. Consultez le plus récent bilan des actions pour la protection du lac Saint-Charles et de la prise d’eau.
Pour les sources du Bon-Pasteur, la vulnérabilité se calcule avec l’indice Drastic puisqu’il s’agit d’eau souterraine. La vulnérabilité établie est élevée.
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