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Charles Daudelin
1997
Angle de la promenade des Premiers-Ministres et rue De La Chevrotière
Composée de deux cubes d’acier imbriqués, cette sculpture forme en fait une seule entité : un couple reposant sur une base en granit. Selon l’angle de vue, elle présente une variété de plans et d’angles où joue la lumière.
Photo : © Succession Charles Daudelin / SODRAC (2014)
Carte interactive
Lewis Pagé
1969
225, Grande Allée Est
Trois personnages masculins stylisés, mais d’une grande expressivité semblent en plein conciliabule.
André D. Gauthier
1989
Place George-V
Élevé à l’occasion du 75e anniversaire du Royal 22e Régiment, le monument commémore le sacrifice des soldats qui ont trouvé la mort durant les deux grandes guerres mondiales et la guerre de Corée. Le bas-relief est inspiré du tableau L’Avance du peintre Alfred Théodore Bastien, exposé au Musée canadien de la guerre à Ottawa.
Rose-Aimée Bélanger
2013
500, Grande Allée Est
Un simple moment de la vie immortalisé dans le bronze : des personnages tout en grâce et en rondeurs, caractéristiques de l’œuvre de l’artiste, s’abandonnent à la lecture.
Pierre Leblanc
2008
Porte de l’édifice Guy-Frégault, 225, Grande Allée Est
Le sculpteur s’est inspiré de l’orme, cet arbre majestueux omniprésent dans les œuvres des artistes Marc-Aurèle Fortin et Armand Vaillancourt. Sur certaines des branches sont gravés les mots « Au cœur des feuilles l’idée de l’arbre », extraits d’un poème de Gaston Miron.
Gilles Doyon
Inconnue
140, Grande Allée Est
Ce cheval sculpté à la silhouette altière fait partie d’une série qui en compte six autres, installés dans la grande région de Québec, notamment à Saint-Antoine-de-Tilly. Mirasse est le gardien des six autres chevaux et le seul à avoir des yeux, d’où son bouclier en forme d’iris.
Jean-Robert Drouillard
2000
Reproduction en béton d’une sculpture sur bois, cette œuvre montre un personnage dont le corps est un pouce. Elle résulte d’un travail sur l’autoportrait et sur les handicaps existentiels, au cœur de la démarche de l’artiste.
Nicole Taillon
Angle de la promenade des Gouverneurs et avenue du Cap-aux-Diamants
Abraham Martin, arrivé en Nouvelle-France vers 1620, exploitait des terres tout près du parc des Champs-de-Bataille actuel. Le parc est aussi connu sous le nom de plaines d’Abraham, attribué en l’honneur de ce pionnier dès le 18e siècle.
Claire Lemieux et Jean Miller
2009
Angle des avenues George-VI et Taché
Le monument en forme de stèle est dédié aux combattants militaires et civils qui ont pris part aux batailles des plaines d’Abraham et de Sainte-Foy, en 1759 et 1760.
Photo : © Archives Commission des champs de bataille nationaux
Léonard Simard
2015
Parc de la Francophonie
Ministre dans le gouvernement de René Lévesque de 1977 à 1984, Camille Laurin fait adopter la Charte de la langue française, ou loi 101, par laquelle le français devient la langue officielle du Québec. Le buste est identique à celui qui a été installé près de l’édifice Camille-Laurin à Montréal. Le socle est gravé d’une citation de l’homme politique, pour qui « la langue est le fondement même d’un peuple ».
Fabien Pagé
Cours du Général-De Montcalm
Le général Charles de Gaulle, président de la République française de 1959 à 1969, a contribué au resserrement des liens entre la France et le Québec. Ce monument commémore le voyage que l’éminent homme d’État a effectué au Québec en 1967, au cours duquel il a prononcé sa célèbre tirade : « Vive le Québec libre! »
Ian Stohl
Avenue George-VI
Frederick G. Todd est considéré comme le premier architecte paysagiste au Canada. Il conçoit en 1909 le plan d’aménagement des plaines d’Abraham, futur parc des Champs-de-Bataille, dont les travaux vont s’échelonner sur 50 ans.
Michel Binette
2017
Georges-Émile Lapalme a créé le premier ministère voué à la culture au Québec, en 1961. Cet avocat et politicien a implanté une politique d’affirmation nationale par les arts qui a pavé la voie à la Révolution tranquille. « C’est par notre culture plus que par le nombre que nous nous imposerons », disait-il. L’homme est décédé en 1985, à l’âge de 78 ans. Son nom désigne aujourd’hui le prix du Québec remis chaque année à un défenseur de la langue française.
Anna Hyatt Huntington
1938
Jardin Jeanne-d’Arc
Cette statue équestre a été offerte par l’artiste, d’origine new-yorkaise, en hommage aux soldats morts lors des batailles des plaines d’Abraham et de Sainte-Foy en 1759 et 1760. Jeanne d’Arc, revêtue d’une armure, visière relevée, brandit son sabre en signe de ralliement des troupes.
Artistes : Léopold Morice, sculpteur, et Paul Chabert, architecte
1911
En 1759, Louis-Joseph de Saint-Véran, marquis de Montcalm, commande les troupes françaises lors de la bataille des plaines d’Abraham, où il trouvera la mort. Le sculpteur l’a représenté blessé sur le champ de bataille, l’épée encore à la main, un canon à ses pieds. Il est soutenu par une figure ailée, la Renommée, qui s’apprête à le couronner de laurier, gage de son héroïsme.
Louis-Philippe Hébert
1891
Le monument rend hommage au major Charles J. Short et au sergent George Wallick, qui ont péri en combattant le terrible incendie du quartier de Saint-Sauveur en 1889. Un haut-relief incarne la ville de Québec sous les traits d’une femme tendant un drapeau vers les deux militaires en signe de reconnaissance.
Raoul Hunter
1958
Parc des Champs-de-Bataille
Sir Jean-George Garneau, maire de Québec de 1908 à 1910, a contribué à la création du parc des Champs-de-Bataille et a présidé pendant 30 ans la Commission qui a veillé à son aménagement.
Roger Alexandre
Édifice de La Capitale, 625, rue Saint-Amable
Cette œuvre met de l’avant un personnage qui prend sur lui la destinée de sa famille en lui offrant le monde, un avenir serein. Les plages abstraites sont autant d’espaces qui invitent au voyage et à l’aventure, sachant que les fondations sont assurées.
Empruntant la forme d’une voile de navire, la sculpture met en relief quelques pages de l’histoire de Québec depuis les premiers temps jusqu’à nos jours.
Guillaume Tardif
Ce bouquet de colonnes entrecroisées témoigne de la fougue de la Superfrancofête, ce festival international qui ravit Québec en août 1974. La forme explosive et colorée traduit l’énergie du rendez-vous, fréquenté par un million de personnes. L’application mobile Québec 1974 propose divers documents d’archives pour revivre ces 11 jours hors du commun.
Régis Canuel
2007
385, Grande Allée Est
Deux sculptures murales ornent les cheminées extérieures de l’hôtel Manoir de la Tour. Elles évoquent les tours Martello construites entre 1808 et 1812, dont l’une se trouve tout près, dans le parc des Champs-de-Bataille.
1990
Constitué en 1862, le régiment des Voltigeurs appartient au patrimoine de la ville de Québec à titre de plus ancien corps de troupe canadien-français. Le monument immortalise un carabinier, arme en bandoulière et coiffé du calot que portaient les soldats chargés de rétablir la paix lors de la rébellion des Métis du Nord-Ouest en 1885.
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